A côté du bien connu appel à projet BBI se trouvent des opportunités de financement qui correspondent à des plus petites structures, pour des projets de plus petite taille. Deux opportunités de financement pour les projets biobasés ont vu le jour cette année : Biobased4SME et Super bio.
De plus en plus au coeur de l’actualité, les microalgues sont porteuses d’avenir. La Journée Génie des Procédés - Downstream des Microalgues, organisée à Paris par l’IAR, a réuni début octobre les acteurs de la filière microalgues tels que des chercheurs, des commerciaux, ou encore des chefs de projet, et a permis de faire le point sur les technologies de procédés de cette filière.
Global Market Insights a annoncé la parution d’un rapport sur le polyméthacrylate de méthyle (PMMA). Le rapport couvre la période 2015-2022. Le marché du PMMA pourrait dépasser 3,1 millions de tonnes en 2022 et la taille de ce marché devrait dépasser $11,5 milliards en 2022.
Aujourd’hui, les algues sont citées de toutes parts comme la ressource phare de la bioéconomie de demain ; la 3ème génération pour les connaisseurs. Faciles à produire avec un impact environnemental a priori faible, elles entrent dans les secteurs de l’alimentaire, la chimie, la cosmétique, les transports, etc. Mais cet engouement n’est-il pas prématuré ? Analyse.
Dans son usine de Sarnia au Canada, BioAmber utilise le sucre tiré de matières premières biologiques renouvelables, comme le maïs, pour produire de l’acide biosuccinique dont la formule chimique est identique à celle de son équivalent issu du pétrole.
Depuis 25 ans, les biomatériaux à partir de ressources renouvelables ont été une priorité de recherche à l’Institut Fraunhofer pour la Recherche Appliquée sur les Polymères à Potsdam (Allemagne). La recherche jusqu’à présent s’est focalisée sur les matières premières d’origine végétale telles que la cellulose, l’amidon et la lignine. Aujourd’hui les chercheurs ont aussi développé des biomatériaux à partir de protéines.
Les partenaires à l’origine de la création de la bioraffinerie Crescentino, dont Biochemtex et Novozymes, forment un nouveau consortium pour monter la 1ère bioraffinerie d’éthanol cellulosique d’échelle commerciale en Europe. Le consortium est financé à travers le programme européen BBI, pour un total de 30 millions d’€, dont 21,5 millions par la Commission européenne.